La dame en blanc
Posté par belledenuit le 8 janvier 2009
Auteur : Wilkie Collins
Editions : Le Masque (2004)
Nbre de pages : 475
Quatrième de couverture :
Dans la fournaise de l’été, en ce milieu du XIXème siècle, William Hartright, jeune professeur de dessin émérite, s’apprête à quitter Londres pour enseigner l’aquarelle à deux jeunes filles de l’aristocratie, dans le Cumberland. Il laisse derrière lui la vie trépidante de la ville et ses étranges incidents, comme cette rencontre en pleine nuit avec une jeune femme terrorisée, toute de blanc vêtue, semblant fuir un invisible danger… Mais la campagne anglaise, malgré ses charmes bucoliques, n’apaise pas le jeune William autant qu’il le souhaiterait. La demeure de Limmeridge recèle en effet de bien lourds secrets, et lorsque surgit la mystérieuse Dame en blanc, il est bien difficile d’affirmer qu’il ne s’agit pas d’un présage funeste…
Mon avis :
Après bien des difficultés à me lancer dans ce livre (qui n’a rien à voir avec le fait qu’il ne serait pas intéressant), me voilà (enfin !) arrivée à sa fin.
C’est encore une bien belle découverte que je viens de faire puisque je ne connaissais pas du tout cet auteur.
On entre ici dans le genre policier gentillet (si je peux me permettre) du 19ème siècle de l’Angleterre victorienne. Cela n’a donc rien à voir avec le “policier” que nous connaissons aujourd’hui. Dans ce livre, il n’y a ni scènes sanglantes, ni détails macabres. Tout se fait dans la finesse de l’écriture et le style est bel et bien celui que j’adore !!!
Wilkie Collins est donc un auteur que j’ai vraiment envie de continuer à lire.
L’histoire est plutôt simple; la fin est prévisible à certains moments de la lecture mais cela ne gâche pas du tout l’envie de continuer à découvrir le fin mot de l’histoire. C’est un véritable moment de lecture très agréable !
Je recommande cette découverte surtout tous les amoureux de la période victorienne parce qu’il y a tout ce que l’on aime : une intrigue bien menée, un amour impossible, des regards qui en disent long… Toute une atmosphère parfaite pour se laisser emporter par cette belle (même si tragique) histoire.
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