La bâtarde d’Istanbul
Posté par belledenuit le 20 janvier 2009
Auteur : Elif Shafak
Editions : Phébus (2007)
Nbre de pages : 319
Présentation de l’éditeur :
Chez les Kazanci, Turcs d’Istanbul, les femmes sont pimentées, hypocondriaques, aiment l’amour et parlent avec les djinn, tandis que les hommes s’envolent trop tôt – pour l’au-delà ou pour l’Amérique, comme l’oncle Mustafa. Chez les Tchakhmakhchian, Arméniens émigrés aux Etats-Unis dans les années 20, quel que soit le sexe auquel on appartient, on est très attaché à son identité et à ses traditions. Le divorce de Barsam et Rose, puis le remariage de celle-ci avec un Turc nommé Mustafa suscitent l’indignation générale. Quand, à l’âge de vingt et un ans, la fille de Rose et de Barsam, désireuse de comprendre d’où vient son peuple, gagne en secret Istanbul, elle est hébergée par la chaleureuse famille de son beau-père. L’amitié naissante d’Armanoush Tchakhmakhchian et de la jeune Asya Kazanci, la » bâtarde « , va faire voler en éclats les secrets les mieux gardés. Avec ses intrigues à foison, ses personnages pour le moins extravagants et l’humour corrosif qui le traverse, La Bâtarde d’Istanbul pose une question essentielle : que sait-on vraiment de ses origines ? Enchevêtrant la comédie au drame et le passé au présent, Elif Shafak dresse un portrait saisissant de la Turquie contemporaine, de ses contradictions et de ses blessures.
Mon avis :
Mon avis sera bref. Je n’ai malheureusement pas aimé ce livre. Pour moi, c’est un flop total !
Pourtant la présentation de l’éditeur me laissait espérer une histoire superbe où chacune de ces jeunes filles allait se “trouver”. L’amitié est rapide à venir; l’histoire longue à se mettre en place; on fait le tour de la vie de tous les personnages. Très honnêtement, je me suis perdue dans ce livre. L’auteure est, à mon goût, trop brouillon dans son roman.
Les quelques passages historiques sont très intéressants à découvrir, tout comme la Turquie au travers des balades et des plats culinaires que nous offre Elif Shafak. A la rigueur, ce sont les rares moments où j’ai tourné les pages sans m’en rendre compte.
L’histoire d’Armanoush (de son passé qu’elle ne connaît pas) est bien pensée mais franchement, même maintenant, mon cerveau cogite pour arriver à trouver qui était qui et qui a fait quoi et pourquoi !?
Bon allez, je dois le dire tout haut : je n’ai pas du tout été concentrée sur cette lecture. Elle avait du mal à m’attirer. J’ai fini le livre en le lisant en diagonale (chose rare chez moi) mais je n’en pouvais plus.
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