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Les enfants de la liberté

Posté par belledenuit le 18 août 2008

Les enfants de la liberté dans Contemporain 21jA-D3RMlL._SL160_AA115_Auteur : Marc Levy

Editions : Pocket (2008)

Nbre de pages : 367

Présentation de l’éditeur :
Jeannot, Tu leur diras de raconter notre histoire, dans leur monde libre. Que nous nous sommes battus pour eux. Tu leur apprendras que rien ne compte plus sur cette terre que cette putain de liberté capable de se soumettre au plus offrant. Tu leur diras aussi que cette grande salope aime l’amour des hommes, et que toujours elle échappera à ceux qui veulent l’emprisonner, qu’elle ira toujours donner la victoire à celui qui la respecte sans jamais espérer la garder dans son lit. Dis-leur Jeannot, dis-leur de raconter tout cela de ma part, avec leurs mots à eux, ceux de leur époque. Les miens ne sont faits que des accents de mon pays, du sang que j’ai dans la bouche et sur les mains.

Mon avis :Marc Levy nous plonge avec ce roman dans la période noire de la Seconde Guerre Mondiale et de la vie des juifs et des étrangers en France. Véritable roman mémoire, il s’avère après recherches menées sur internet que l’auteur a rendu à son ouvrage cette part de témoignage qu’il manque chez certains autres romans du genre. Quand j’ai commencé ma lecture, je me suis d’ailleurs demandée comment Marc Levy allait traiter ce thème là. J’ai été fort étonnée et touchée par sa façon de composer son roman et le fait que certains évènement et personnages ont réellement existé est encore plus poignant (pour exemple, et sans trop m’étendre, la réalité de la 35ème brigade composée essentiellement d’immigrés qui se battaient pour la France dont Marcel Langer faisait partie et dont parle Marc Levy dans son livre). Cela donne une dimension encore plus réelle à l’ouvrage. On ne sort pas indemne d’une telle lecture.
Le livre est composé de trois parties et plus j’avançais dans ma lecture, plus j’étais prise par des émotions (espoir pour ces jeunes combattants, puis tristesse, abattement de se rendre compte de ce que la nature humaine peut faire à ses semblables…) Même si l’on peut s’attendre à certaines choses par ce genre d’ouvrage, il n’en demeure pas moins qu’il est difficile de les lire et de ne pas s’insurger face à de tels faits racontés.
Je ne m’attendais pas à lire un ouvrage comme celui-ci de la part de Marc Levy, les deux premiers que j’avais lus de cet auteur (”7 jours pour une éternité…” et “Où es-tu ?”) étant totalement différents. C’est un livre poignant et qui touche au plus profond de nous. Ma prochaine lecture devra être légère pour me changer les idées.

 

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Le treizième conte

Posté par belledenuit le 16 août 2008

Le treizième conte dans Contemporain 51Klg5J0rPL._SL160_AA115_Auteur : Diane Setterfield

Editions : Pocket (2008)

Nbre de pages : 567

Présentation de l’éditeur :
Vida Winter, auteur de best-sellers vivant à l’écart du monde, s’est inventé plusieurs vies à travers des histoires toutes plus étranges les unes que les autres et toutes sorties de son imagination. Aujourd’hui, âgée et malade, elle souhaite enfin lever le voile sur l’extraordinaire existence qui fut la sienne. Sa lettre à Margaret Lea est une injonction : elle l’invite à un voyage dans son passé, à la découverte de ses secrets. Margaret succombe à la séduction de Vida mais, en tant que biographe, elle doit traiter des faits, non de l’imaginaire. Et elle ne croit pas au récit de Vida. Dès lors, les deux femmes vont confronter les fantômes qui hantent leur histoire pour enfin cerner leur propre vérité

Mon avis :

Un roman tout simplement magnifique.

Si le début peut surprendre tenant le genre, on se laisse néanmoins emporter par le récit de Vida Winter et les interrogations et les attentes de Margaret Lea deviennent vite les nôtres. Les pages se laissent tourner au rythme de l’histoire qui ne cesse de devenir troublante, perturbante.

Il est difficile de vous en parler sans dévoiler un sujet sur lequel il y aurait matière à discussion. D’un côté, j’ai cette envie de vous dire ce qu’il en est. Et en même temps, je ne veux pas gâcher le futur plaisir que vous aurez à vous lancer dans cet ouvrage.

Le seul conseil que je puisse vous donner : lisez-le ! C’est un roman avec des notes de surnaturel mais c’est aussi et surtout un roman plein de sentiments.

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Le parfum

Posté par belledenuit le 13 août 2008

Le parfum dans Contemporain 51CXHHXMZBL._SL160_AA115_Auteur : Patrick Süskind

Editions : Le livre de poche (2006)

Nbre de pages : 279

Quatrième de couverture
 » A vue de nez, un chef-d’oeuvre.  » (Bernard Pivot)  » Dans la France du XVIIIe siècle, un nabot nommé Grenouille découvre le meilleur parfum du monde. De cette idée feuilletonnesque, saturée de détails et de cascades ethno-olfactives, Patrick Süskind, jeune romancier munichois, a fait le Parfum, le nouveau best-seller européen.  » (Patrick Mauriès, Libération)  » Encore un exploit, cette exaltation de l’exhalaison, dont seules sont capables l’écriture et la lecture, à l’exclusion de tout autre art !  » (Bertrand Poirot-Delpech, Le Monde)  » Un conte, philosophique sans en avoir trop l’air, qui exhale un fort parfum de talent et d’originalité.  » (Pierre Démeron, Marie-Claire)  » Tout le monde a déjà envie de lire ce parfum étrange qui restera unique dans la littérature d’aujourd’hui.  » (Sylvie Genevoix, Madame Figaro)

Mon avis :

Voila un livre qui ne m’a pas véritablement plu malgré beaucoup d’avis positifs qui ont été donnés. Etant partie dans cette lecture avec un certain enthousiasme, j’ai perdu celui-ci au fur et à mesure que j’entrais dans l’histoire.
En fait, je ne m’attendais pas du tout à un tel genre de lecture : beaucoup de notes de fantastique si l’on peut dire, et n’étant pas véritablement adepte de genre là, j’ai eu bien du mal par moment à poursuivre ma lecture. Il me tardait même de le terminer. N’étant pas de nature à arrêter un livre malgré le fait qu’il ne me plaît pas plus que ça, je me suis persuadée qu’en continuant, l’histoire allait finir par me plaire. Tant s’en faut ! Cela ne s’est pas produit ! J’ai trouvé certaines scènes longues, ennuyeuses et peu intéressantes (hormis celles consistant à l’enseignement de la création du parfum et des techniques utilisées pour ce faire). Au vu de tous les avis plus que positifs que je peux voir sur beaucoup de blogs ou forums littéraires, je me dis que je suis passée complètement à côté de ce ”chef-d’oeuvre” ou que je n’ai pas compris l’histoire… Et pourtant : un jeune homme qui a un “nez” et qui arrive à faire des parfums sans apprentissage, voila un thème très intéressant. Là où le bas blesse pour moi, c’est le côté fantastique/horrifique de ce que son “nez” le pousse à faire : tuer pour récupérer l’âme olfactive des jeunes filles qui l’attirent… Désolé d’avoir dévoilé une partie de la fin de l’histoire qui m’a le plus choquée et de vous dire : Non, je n’ai vraiment pas accroché à ce livre.

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Tempête sur Armen

Posté par belledenuit le 8 août 2008

Tempête sur Armen dans Autres 4110US6TsiL._SL160_AA115_Auteur : Jean-Jacques Antier

Editions : Presses de la Cité (2007)

Nbre de pages : 264

Présentation de l’éditeur :
L’histoire d’un gardien du phare d’Armen, le plus dangereux au monde, situé au large de la pointe du Finistère.
Mars 1914. Gildas Kerdaniel réalise son rêve d’enfance : être gardien du phare d’Armen. Aux côtés du maître gardien Tréboul, il découvre un quotidien rude, à la merci des éléments : tempêtes, assaut incessant des vagues, rafales de vent, sans compter la solitude, l’enfermement et la folie qui guette… Des énigmes planent également sur le rocher : disparitions mystérieuses d’anciens gardiens, appels étranges dans le ciel étoilé… Et cette menace qui pèse sur le monde : la guerre.
Pour Gildas, l’échappatoire a le doux visage d’Oanig. Mais de l’amour d’une femme ou de la passion de la mer, qui l’emportera dans le cœur du jeune homme ?

Mon avis :

Un livre qui nous fait découvrir le dur métier de gardien de phare (et notamment celui d’Armen). On se rend compte au travers de la vie au quotidien de Gildas à quel point c’est difficile de rester dans un tel endroit avec les éléments qui se déchaînent. De ce point de vue là, l’histoire est très intéressante malgré des termes que j’ai eu du mal à cerner. La description d’un phare finalement ne s’arrête pas à sa hauteur et à la lentille qui permet aux bateaux de se repérer la nuit. Ce qui m’a également gêné, c’est ce sentiment de survoler l’histoire. Peut-être est-ce dû à l’édition du Reader Digest’s qui fait un condensé de l’histoire originale. Au lieu d’avoir 264 pages de lecture, on se retrouve avec 127 pages !! Je contrôlerai lors d’un passage en librairie si le livre était en intégralité ou s’il manquait effectivement 140 pages ! Si tel est le cas, j’ai bien ressenti ce “manque” dans le déroulement de l’histoire. Je reste sur ma faim pour certains passages. J’avais l’impression par moment de sauter du coq à l’âne. Dommage !! car au fond la narration est très belle. On ressent cette passion de Gildas pour les phares et la mer et ce choix difficile qui s’impose à lui “le phare ou la fille” (Oanig) ?

Si certains d’entre vous décident de se mettre à cette lecture, je vous remercie de me dire si vous avez ressenti ce “manque” que j’invoque. Si votre réponse est “non”, il ne me restera plus qu’à me procurer le livre intégral pour parfaire ma lecture et me régaler complètement.

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R.O.M.A.

Posté par belledenuit le 27 juillet 2008

R.O.M.A. dans Contemporain 512DOufQJkL._SL160_AA115_Auteur : Mireille Lesage

Editions : Pocket (2008)

Nbre de pages : 371

Présentation de l’éditeur :

C’est à Rome que furent façonnés deux anneaux qui devaient symboliser l’amour. C’est à Rome que se dénouera le drame qui les a accompagnés au cours des siècles… Dans un nouveau rêve, Antoine Maunier, qui possède l’une des bagues jumelles, assiste à la passion tragique entre la belle Marion Delorme et le marquis de Cinq-Mars, manipulé puis anéanti par Richelieu. Ces visions, le malheur qui semble inexorablement attaché aux amants et l’acharnement meurtrier de ses ennemis ne laissent subsister aucun doute : un terrible secret entoure les bijoux. Malgré ce pressentiment, emporté par sa fougue et son amour pour Olivia, Antoine va se jeter lui-même dans la gueule de la louve romaine…

Mon avis

Une deuxième et dernière partie tout aussi intéressante que la première, même si l’engouement n’a pas été aussi intense. On suit désormais Antoine Maunier sur les traces de cette bague jusqu’à Rome. Il y a beaucoup moins de récits historiques (un seul dans ce tome et beaucoup plus récent puisque datant de l’époque du Cardinal de Richelieu et de Louis XIII). Période que l’on connaît davantage que la Rome antique ou le XIVème siècleet par conséquent un peu moins intéressante pour moi. Cependant, je me suis régalée à lire cette histoire composée de deux volumes même si la fin pourrait laisser penser à une suite. Je suis plutôt mitigée sur cette “sortie” finale mais ne regrette pas du tout ce choix de lecture estivale.

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A.M.O.R.

Posté par belledenuit le 25 juillet 2008

A.M.O.R. dans Contemporain 51NoKPbT5rL._SL160_AA115_Auteur : Mireille Lesage

Editions : Pocket (2008)

Nbre de pages : 379

Présentation de l’éditeur :
Deux bagues assorties, deux gages d’amour et de fidélité éternels… Taillées au temps de la Rome antique, elles devaient sceller les voeux passionnés des amants. Au fil des siècles, elles n’ont fait que précipiter leur sort funeste… En 1922, tandis que Paris tente d’oublier le drame de la Grande Guerre dans le tourbillon des années folles, l’un des deux anneaux refait surface. Antoine Maunier, un ancien lieutenant, en fait l’acquisition, persuadé d’avoir déjà vu un bijou similaire. Dans son souvenir, il était porté par une jeune femme à la beauté irréelle. Antoine doit la retrouver. Mais de mystérieux inconnus convoitent sa bague. Et pour cela, ils ne reculeront devant rien…

Mon avis :

Amateurs de roman mêlé de tragédies historiques, ce livre est pour vous. Les premières lignes m’ont rappelé les moments de lecture passés avec le personnage de Juliette Benzoni, le Prince Morosini. Mais n’allait pas vous méprendre. Ce livre de Mireille Lesage a sa particularité propre et mérite que l’on prenne le temps de le découvrir. Certes quelques similitudes sont à prévoir mais j’ai été bluffée par ce genre mêlant romanesque, aventure et tragédies historiques. On se retrouve tantôt au début du XXe siècle, tantôt dans la Rome antique voire même au XIIIe siècle (et ce n’est pas terminé !). L’auteure nous fait découvrir l’Histoire à travers l’histoire. C’est un genre qui me plaît beaucoup. J’ai lu ce 1er tome avec avidité et vais continuer à délecter cette oeuvre avec le dénouement en tome 2 (et j’en suis quasiment au milieu du tome. Ca va troooop viiiiiiteeeeee !!! )

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Au péril de la mer

Posté par belledenuit le 17 juillet 2008

Au péril de la mer dans Contemporain 41B9J049R2L._SL160_AA115_Auteur : Wilbur Smith

Editions : Les presses de la cité (2006)

Nbre de pages : 382

Présentation de l’éditeur :
Quittant l’espace d’un roman son continent de prédilection, l’Afrique, Wilbur Smith s’attaque à un autre, le plus grand et le plus sauvage e tous : l’océan… Entre Nicholas Berg, marin de génie doublé d’un homme d’affaires trop intègre Alexander, financier retors ; la rivalité a toujours eu un triple enjeu : les femmes, l’argent, le pouvoir. Berg a laissé filer la première manche du duel, en payant le prix : évincé de la direction de l’armement Christy Marine par son rival, il a également perdu son épouse, la troublante Chantelle, et son fils, le jeune Peter. La seconde manche et la belle éventuelle se dérouleront loin des bureaux londoniens, sur un terrain neutre : la mer, acteur omniprésent de ce roman haletant. Des redoutables tempêtes antarctiques aux eaux tièdes de la Floride, berceau des ouragans, Wilbur Smith, le grand maître du roman d’aventures, multiplie les scènes époustouflantes dans ce roman à l’intrigue remarquable.

Mon avis :

Voila une sublime découverte d’un auteur que je ne connaissais pas du tout. J’ai adoré me retrouver sur ce remorqueur en pleine tempête, bravant les dangers océaniques pour récupérer un bateau de plaisance puis, par la suite, un pétrolier. C’est un livre exceptionnel dans la description des bateaux, les manoeuvres pour effectuer un remorquage… On suit pas à pas les techniques utilisées mais également le sauvetage des personnes. Wilbur Smith a une écriture simple mais complète pour nous permettre d’être de la partie. On ne s’ennuie pas bien au contraire. Prise dans l’engrenage du sauvetage, on ne le lâche qu’avec un soupir de soulagement quand bateau et rescapés sont à l’abri. C’est un livre parfait pour ces vacances estivales. C’est frais. Rafraîchissant ! Et ça fait du bien.

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Virgin suicides

Posté par belledenuit le 13 juillet 2008

Virgin suicides dans Contemporain 413BY8HDX9L._SL160_AA115_Auteur : Jeffrey Eugenides

Editions : J’ai Lu (2000)

Nbre de pages : 222

Quatrième de couverture :
Des adolescents amoureux s’efforcent de percer le mystère des filles Lisbon. Du haut d’une cabane nichée dans les arbres, ils passent leur temps à scruter les fenêtres de leur maison.
Vingt ans plus tard, ils rassemblent des fragments de ragots et de ouï-dire, de conversations téléphoniques, de rapports de médecins et de confessions crues et tourmentées. Autant de pièces à conviction qui expliqueront peut-être les morts successives de Cecilia, Therese, Bonnie, Lux et Marie.”

Mon avis :

Cette histoire, encore tirée d’un fait réel dans les années 1970 au Michigan, ne m’a pas du tout intéressée. J’étais pourtant intéressée et motivée à lire ce livre vu le thème abordé (suicide des 5 soeurs Lisbon à 1 an d’intervalle). Si certains passages sont intéressants puisque traitant du problème du suicide chez les adolescents, j’ai eu du mal à entrer dans l’histoire (je pense même n’y être jamais arrivée). J’ai littéralement survolé le dernier chapitre. Les phrases dans la totalité de l’ouvrage sont longues. On se perd dans la narration. Des passages beaucoup trop longs ne concernent pas véritablement l’histoire des jeunes filles, en elle-même. Cela laisse penser que l’auteur tentait de combler ses pages par d’autres “histoires”. Il me tardait de finir ce livre qui faisait partie de mon Challenge ABC 2008. Vous aurez compris que je ne conseille pas ce livre.

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La recluse de Wildfell Hall

Posté par belledenuit le 12 juillet 2008

La recluse de Wildfell Hall dans Classique 51uwpFwwGTL._SL160_AA115_Auteur : Anne Brontë

Editions : Phébus (2008)

Nbre de pages : 474

Présentation de l’éditeur :
Publié en 1848, La Recluse de Wildfell Hall, qui analyse sans concession la place des femmes dans la société victorienne, est considéré comme l’un des tout premiers romans féministes. Ce titre méconnu entretient, comme l’a souligné la critique moderne, de nombreux liens avec Les hauts de Hurlevent d’Emily Brontë. on y retrouve notamment les mêmes thèmes: alcoolisme, violence masculine corruption de l’enfance… Qui est la mystérieuse nouvelle locataire de Wildfell Hall? On ne sait pas d’où vient cette artiste qui se fait appeler Mrs Graham, se dit veuve et vit comme une recluse avec son jeune fils. Son arrivée alimente toutes les rumeurs dans la petite communauté villageoise et éveille l’intérêt puis l’amour d’un cultivateur, Gilbert Markham. La famille de Gilbert. est apposée à cette relation et petit à petit, Gilbert lui-même se met à douter de sa secrète amie. Quel est le drame qu’elle lui cache ? Et pourquoi son voisin, Frederick Lawrence, veille-t-il si jalousement sur elle ?

Mon avis :

Ce livre est tout simplement un chef d’oeuvre de la littérature victorienne. Je l’ai même d’ailleurs préféré à “Orgueil et préjugés” de Jane Austen que j’avais pourtant adoré.
J’ai trouvé ici que l’on entrait davantage dans la profondeur des sentiments d’Helen (héroïne principale). Anne Brontë peint très bien les personnages (tant les bons que les mauvais).
On se sent comme intégré dans l’oeuvre à tel point que je m’imaginais parfois être avec eux dans les réunions organisées puis dans le château de Grassdale où l’on découvre ce qu’était l’existence de Mrs Graham avant sa venue à Wildfell Hall.
J’ai davantage ressenti la condition des femmes de l’époque et leur volonté (pour certaines en tout cas) de changer ces choses. Helen Graham ne veut pas simplement être une femme qui s’occupe de la maison, des enfants, du mari et de ses quatre volontés. On la découvre. C’est une femme d’exception, extraordinaire avec une force de caractère hors du commun.
J’ai vraiment adoré ce livre même si j’ai pris le temps de le lire pour mieux l’apprécier.
Vous l’aurez compris : LISEZ-LE !

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Le refuge irlandais

Posté par belledenuit le 3 juillet 2008

Le refuge irlandais dans Contemporain 51HFKF4FJoL._SL160_AA115_Auteur : Emilie Richards

Editions : Best-Sellers Harlequin

Nbre de pages : 628

Présentation de l’éditeur :

Autour du thème irlandais qui baigne ce beau roman riche et foisonnant, habité par des personnages que l’on ne quitte qu’à regret, Emilie Richards nous embarque avec maestria dans une lecture passionnée et prenante. Car “Le refuge irlandais” fait partie de ces sagas qui s’attardent longtemps dans la mémoire et que l’on dévore tout en sachant que la fin arrivera trop vite…

Tandis que l’auteur nous donne peut à peu les clés du passé des Donaghue, un siècle entier d’Histoire, de drames, de mystères, de culpabilité et de passions remonte à la surface, éclairant d’un jour neuf la vie de Megan, Casey et Peggy Donaghue. Avec finesse et virtuosité, emilie Richards construit son roman sur un étonnant réseau d’intrigues qui se répondent tel un troublant jeu de miroirs, avant de se rejoindre en un dénouement qui réserve une surprise finale…

“Le refuge irlandais” a été traduit et publié dans 17 pays et il a été classé sur la liste des meilleures ventes de USA Today.

Mon avis :

J’ai été littéralement envoûtée par cette lecture. Une fois l’intrigue mise en place et les personnages présentés, tout nous pousse à continuer l’ouvrage sans un seul arrêt. Il m’a d’ailleurs été difficile de fermer le livre hier soir, arrivant dans les 100 dernières pages qui nous livrent tout le secret de cette histoire. Je me suis attachée à tous les personnages sans aucune exception. Et même si je me doutais de la fin, cela ne m’a pas empêché de vivre pleinement les dernières situations, de Lena notamment (l’ancêtre des 3 filles Donaghues). En effet, l’histoire se tient en parallèle entre le début du XXIème siècle et la fin du XIXème pour notre plus grand plaisir. Le changement de temps est nécessaire à l’élucidation du mystère qui plane sur l’Histoire de Donaghue.

Si vous souhaitez passer un bon moment avec une lecture plaisante, intéressante en tout point et qui soit facile (vu les chaleurs foisonnantes de cette période estivale), n’hésitez surtout pas à vous lancer dans cette oeuvre. Pour ma part, je ne l’ai pas regretté un seul instant !

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