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Une rivière sur la lune

Posté par belledenuit le 18 juin 2008

Une rivière sur la lune dans Contemporain 51SWGCJYV9L._SL160_AA115_Auteur : Barbara Kingsolver

Editions : Rivage (2002)

Nbre de pages : 384

Quatrième de couverture :
Code revient à Grace, petite ville (imaginaire) de l’Arizona, afin de soigner son père. Elle s’est donnée un an, la durée du remplacement qu’elle a accepté d’assurer dans un lycée de la ville, pour prendre les dispositions nécessaires à son égard. Déprimée, indécise quant à son avenir, elle arrive dans cette ville, quittée depuis longtemps, où elle est confrontée à l’absence d’une soeur adorée partie en mission humanitaire au Nicaragua – alors en pleine guerre civile – et à un père que sa maladie dégénérative rend plus distant et plus étrange encore qu’autrefois. Les souvenirs de son enfance à Grace sont d’autant plus flous qu’un double drame personne a contribué à en effacer les contours. Presque malgré elle, Codi est prise dans une vaste campagne menée par les femmes de la ville dans le but de contrecarrer les projets d’une société minière risquant de provoquer une catastrophe écologique majeure, qui entraînerait à plus ou moins brève échéance la mort de la région. Par le biais de cette action, Code, qui doutait d’elle-même et de ses capacités, se reconstruira peu à peu, en renouant à la fois avec ses origines, ses anciens amous et un environnement magnifique que diverses tribus indiennes ont fortement marqué.

Mon avis :

Le livre, lorsque la narration se fait part Codi (Cosima de son vrai prénom), se présente à la première personne du singulier. On est alors pleinement dans l’histoire qu’elle nous conte. On se croirait littéralement dans un journal intime que l’on ouvre pour savoir ce qui s’y cache.

L’histoire, la façon de la raconter et le style de l’auteure font que l’on ne s’ennuie pas une seconde.

Par ailleurs, c’est un ouvrage qui met l’accent sur des problèmes environnementaux : dans le présent cas, il s’agit d’une rivière empoisonnée à la suite de l’exploitation d’une mine.

“… Je me penchai moi-même au-dessus du microscope, prête à observer le monde grouillant d’une rivière souillée. Je découvris qu’ils avaient raison : il n’y avait rien. Je fus saisie d’une bizarre panique de constater cette immobilité sous le grossissement puissant. Notre eau était morte. Elle aurait pu tout aussi bien provenir d’une rivière sur la lune.”

C’est un livre vraiment superbe qui englobe des questions existentielles et environnementales mais qui nous fait découvrir également l’Arizona au travers des descriptions magnifiques de cette partie de l’Amérique que l’auteure connaît si bien.

En somme, c’est un ouvrage que je recommande de lire fortement. Je n’ai pas été déçue par mon choix et je dois dire que l’auteure ne laisse pas ses lecteurs sans réflexion.

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La condition humaine

Posté par belledenuit le 14 juin 2008

La condition humaine dans Classique 5157GFWW4XL._SL160_AA115_Auteur : André Malraux

Editions : Folio (1972)

Nbre de pages : 337

Résumé par Amazon.fr :
Outre l’irréductible échéance liée à la mort, outre les multiples et indicibles souffrances, n’est-il pas donné à tous de choisir son destin ? Certes la vie est tragique mais elle doit avoir un sens. Un sens, peut-être des sens, mais seuls quelques-uns aux vertus salvatrices s’offrent aux hommes pour les affranchir de leur condition. La Révolution, au nom d’une foi en la fraternité, est une arme tournée contre la misère, celle qui enchaîne l’homme parce qu’elle le prive de sa dignité. Vaincre l’humiliation en leur nom propre ou pour les autres par le biais de la Révolution, voici le combat que se sont choisis les héros de La Condition humaine. Pour échapper à l’angoisse de « n’être qu’un homme », l’amour est un autre de ces moyens, mais seul l’amour véritable et fusionnel qu’éprouvent Kyo et May l’un pour l’autre est susceptible de briser la profonde solitude des êtres. Misérable humanité, humanité héroïque et grandiose, c’est « la condition humaine »… Elle résonnera à jamais comme un écho au fond de soi, tant il est vrai que ce roman est « d’une intelligence admirable et, malgré cela, profondément enfoncé dans la vie, engagé, et pantelant d’une angoisse parfois insoutenable », comme l’avait écrit Gide.

 Mon avis :

J’ai fini le livre ce matin et que dire ?!

Il est indéniablement encore d’actualité (alors qu’il a été primé du prix goncourt en 1933). C’est dire qu’il ne prend pas une ride ! On est lancé dans l’action dès le début. L’auteur ne perd pas son temps à nous décrire les personnages, ni les filiations qui les attachent les uns aux autres. Il a d’autres buts.

Le contexte historique est difficile (j’ai peiné sur certaines parties – notamment les premières). Il faut bien être implanté dans l’histoire pour comprendre toute la portée de cet ouvrage. J’ai même fait quelques recherches tant sur l’histoire de la Chine à cette époque que sur celles de l’auteur qui s’est indéniablement investi puisque reparti à Saïgon en 1925, il y fonde un mouvement de libération et un journal. Par ailleurs, il est nommé vice-président de la propagande du Kuomintang. Autant dire que « la condition humaine » est quelque part une histoire qu’il a vécue !

Par contre, je ne me suis pas du tout attachée aux personnages. On vit l’insurrection à travers eux, avec leurs doutes, leur courage, leurs envies d’aller jusqu’au bout quitte à perdre leur vie. Ils sont déterminés dans leur choix. Cela s’impose à eux comme une évidence.

Je ne peux pas dire que j’ai aimé ou non ce livre. On ne peut pas faire un tel choix avec un tel ouvrage (notamment parce qu’à l’heure actuelle, il est toujours d’actualité – malheureusement !).

En tout cas, c’est un livre que l’on n’oublie pas de sitôt et qui fait réfléchir sur la condition humaine parce que comme il est dit dans le livre (et chose qui m’a marquée) : « tout homme rêve d’être dieu... »

Peu importe alors comment faire pour y parvenir…

A lire indéniablement mais je ne sais pas s’il aurait eu le même impact sur moi si je l’avais lu à 15 ans. Je ne regrette pas du tout ce choix de lecture.

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L’innocence du mal

Posté par belledenuit le 10 juin 2008

L'innocence du mal dans Contemporain 41Y4lzhtDhL._SL160_AA115_Auteur : Winslow Eliot

Editions : Best-Sellers Harlequin

Nbre de pages : 660

Quatrième de couverture :
Après la mort tragique de son père, Penny Houten se retrouve orpheline. Adolescente rebelle et farouche, elle fait la rencontre de Justin Groome, un riche homme politique, qui voit en elle une proie facile et, fort de son influence et de sa notoriété, abuse d’elle en toute impunité. Mais quand elle s’apprête à le dénoncer, il l’entraîne dans une bagarre dont elle sort défigurée, et la fait accuser d’un crime qu’il a lui-même commis. Seule et calomniée, Penny n’a d’autre solution que de s’enfuir sans laisser de trace… Deux ans plus tard, le visage reconstruit par la chirurgie esthétique, la petite sauvageonne d’autrefois est devenue une autre femme : Lark Chandler. Une femme élégante, sophistiquée, sûre d’elle. Un seul homme connaît son secret : le chirurgien qui l’a opérée… Devenue productrice à Hollywood, Lark a désormais en main les armes pour se battre. La beauté. La féminité. Et la rage. Une rage glacée et tenace contre le coupable qu’elle s’est jurée de démasquer, sans épargner ceux qui, par lâcheté, par cruauté, par perversité, l’ont jadis abandonnée…”

Mon avis :

J’ai lu ce livre en à peine 2 jours. Et je dois dire que j’en suis restée bluffée. Il fait partie des Editions Harlequin – Best Sellers. Cependant, il ne s’agit pas de ce genre de livres “gnan-gnan”. Un superbe roman qui dénote la volonté de cette jeune fille de restituer le crime tel qu’il a été commis. De retrouver une vie que cet homme lui a gâchée. Tout faire pour que la vérité éclate ! Mais avec également beaucoup d’amour, de sentiment vis-à-vis de la femme qui l’a recueillie à la suite du décès de son père. Cette femme qu’elle chérit comme sa mère. Tout est très fort en émotion dans ce livre. Je n’ai pas retrouvé des scènes lourdes comme on peut en attendre de cette édition. C’est sans contexte un ouvrage à livre. On se croirait tout simplement devant un téléfilm. Et c’est pour cette raison que je ne pouvais pas le lâcher. Je voulais bien évidemment connaître la suite, savoir comment elle allait s’y prendre avec Justin Groome. Tout est très bien ficelé. Je le recommande vivement.

A noter que Winslow Eliot a vu deux de ses romans achetés par des producteurs pour être adaptés à l’écran.

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Chinoises

Posté par belledenuit le 6 juin 2008

Chinoises dans Contemporain 41HT3Q7R3VL._SL160_AA115_Auteur : Xinran

Editions : Philippe Picquier (2005)

Nbre de pages : 351

Quatrième de couverture :
« Un dicton chinois prétend que “dans chaque famille il y a un livre qu’il vaut mieux ne pas lire à haute voix.” Une femme a rompu le silence. Durant huit années, Xinran a présenté chaque nuit à la radio chinoise une émission au cours de laquelle elle invitait des femmes à parler d’elles-mêmes, questionnant sans tabou ce que signifie être une femme aujourd’hui en Chin. Elle a rencontré des centaines d’entre elles. Avec compassion elle les a écoutées se raconter et lui confier leurs secrets enfouis au plus profond d’elles-mêmes. Epouses de hauts dirigeants du Parti au paysannes du fin fond de la Chine, elles disent leurs souffrances incroyables : mariages forcés, viols, familles décimées, pauvreté ou folie… Mais elles parlents aussi d’amour. Elles disent aussi comment, en dépit des épreuves, en dépit du chaos politique, elles chérissent et nourrissent ce qui leur reste. Ce livre bouleversant – somme d’un travail de nombreuses années – a modifié le regard de Xinran et changera peut-être le nôtre à l’égard de la Chine et des femmes chinoises en particulier.”

Mon avis :

C’est un livre exceptionnel, troublant et fort en émotion. On passe du sourire aux larmes selon les histoires. Xinran est une auteure qui a les mots justes pour nous toucher en tant que Femme, mère et femme occidentale. Toutes les histoires racontées par ses femmes, se déroulent au temps de l’ouverture de la Chine, lors de la révolution culturelle, à l’époque de Mao Zedong. Tout n’est que chamboulement dans la vie de ces femmes, de ces jeunes filles mais aussi des familles qualifiées de “contre-révolutionnaire”. Difficile de rester insensible aux histoires vécues. En tant que femme occidentale, on a du mal à accepter (et réaliser) ce qu’elles ont dû supporter pendant des dizaines d’années. En tant que mère, on ne supporterait pas de voir nos filles utilisées comme elles l’ont été. L’ouverture de la Chine ne signifiait pas du tout liberté ! A cette époque, comme il est dit dans le livre, “il faut pas oublier que ces femmes n’ont jamais eu le temps de profiter de leur jeunesse !”

Un livre à lire si vous souhaitez vous rendre compte de cette difficulté d’être une femme dans un tel pays.

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Où es-tu ?

Posté par belledenuit le 3 juin 2008

Où es-tu ? dans Contemporain 31XTJ6S1ZEL._SL160_AA115_

Auteur : Marc Levy

Editions : Pocket (2003)

Nbre de pages : 311

Présentation de l’éditeur :
Adolescents, ils se sont jurés de s’aimer pour toujours mais le destin va les séparer. Elle affrontera la violence des ouragans en Amérique centrale, tandis qu’il fera carrière à Manhattan. Philip avait promis à Susan que s’il lui arrivait quoique ce soit, il serait toujours là pour elle. Il ne pouvait savoir que cette promesse allait bouleverser sa vie.

Mon avis :

Je viens de finir ce livre et si j’ai beaucoup aimé la première moitié, je l’ai moins été dans la seconde. En somme, je ne sais pas trop quoi vous en dire. Je ne peux pas affirmer que ça ne m’ait pas plu ni que ce n’était pas intéressant mais globalement je n’ai pas accroché comme avec “Sept jours pour une éternité…”. La fin… bof ouais, si on veut ! On se doute de ce qu’il va arriver une fois que l’on connaît la raison du bouleversement dans la vie de Philip. Rien n’est facile. Tout est à refaire mais au final les années passent et se ressemblent. Ca tourne autour du pot pour la seconde moitié de l’ouvrage. En bref, il manque un “truc” même si je voulais connaître quand même la fin. En somme, si je devais vous donner un conseil, je dirai : “Lisez plutôt “Sept jours pour une éternité…” Il est mieux ! Mais ce n’est que mon avis.”

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Un printemps en Virginie

Posté par belledenuit le 1 juin 2008

Un printemps en Virginie dans Contemporain 51oDJblwyRL._SL160_AA115_Auteur : Susan Wiggs

Editions : Best-Sellers Harlequin

Nbre de pages : 372

Quatrième de couverture :
Lester Bohannon, un riche planteur de Virginie, a vu sa vie brisée par la mort tragique de sa femme. Désormais solitaire, hanté par les souvenirs d’un bonheur enfui, il s’en veut de ne pas savoir exprimer son amour à sa fille, Belinda, et à son fils, le petit Blue, qui s’est enfermé dans le silence après le décès de sa mère. Torturé par sa propre impuissance à les réconforter, il évite leur compagnie et néglige la gestion de son domaine pour se consacrer à sa passion : l’élevage des chevaux. Son haras est sa seule fierté, son ultime source d’apaisement. Il ne se lasse pas d’admirer ces pur-sang magnifiques – l’un d’eux surtout, un fougueux étalon irlandais qui refuse obstinément tout dressage. Pour le dompter, Lester va devoir solliciter l’aide d’Eliza Flyte, une jeune femme au mystérieux passé qui vit seule sur Wreck Island, petite île situé au large des côtes virginiennes, et dont la rumeur prétend qu’elle possède le don exceptionnel de murmurer à l’oreille des chevaux…

Mon avis :

Après ma lecture précédente, j’avais bien besoin de lire un livre beaucoup plus léger et me changeant les idées. C’est chose faite avec “Un printemps en Virginie”. Même si cet ouvrage fait partie de la collection Harlequin dont je ne suis pas une adepte du tout (qui m’a été offert par mon mari : “Finalement, je te dis “merci Chéri !”), je n’ai pas été déçue par ma lecture. Les passages affriolants que l’on connaît avec cette collection sont minimes et ne m’ont pas dérangé du tout. Ils font partie intégrante de l’histoire et se fondent bien avec l’ensemble.

L’histoire est en elle-même intéressante et une fois commencé je ne pouvais plus lâcher ce livre. Il me tardait de savoir la suite : comment Eliza allait réussir à redompter ce cheval devenu agressif à la suite d’une tempête l’ayant effrayé pendant son voyage qui l’amenait d’Irlande en Virginie vers son nouveau propriétaire, Lester; pourquoi Blue, l’enfant de Lester et de sa femme Flora, décédée dans de tragiques circonstances, était entré dans un mutisme total depuis le décès de sa mère… Des tas de question que l’on se pose et des réponses qui arrivent vite vu que la lecture est aisée. On tourne les pages sans s’en rendre compte et d’un coup on se dit : “Oups, c’est déjà fini. Zut alors !”

Vous comprendrez donc que j’ai vraiment aimé ce livre de Susan Wiggs qui a une écriture ô combien agréable. En d’autres termes, si vous avez besoin d’une lecture détente pour maintes raisons, n’hésitez surtout pas à vous plonger dans ce roman.

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Le dernier mousse

Posté par belledenuit le 16 mai 2008

Le dernier mousse dans Aventure 51Q12952RQL._SL160_AA115_Auteur : Francisco Coloane

Editions : Phébus (1996)

Nbre de pages : 130

Quatrième de couverture :

« Un gamin de quinze ans, embarqué clandestinement à bord d’une corvette à voiles dans la Marine de guerre chilienne (nous sommes au début du siècle), va se frotter aux dures réalités de la mer et découvrir l’univers violent du Grand Sud. Une histoire taillée à la hache dans la glace des icebergs – à recommander à tous les grands enfants qui persistent à se nourir du pain des songes.”

Mon avis :

C’est un magnifique voyage en mer que nous décrit Francisco Coloane, auteur que je viens récemment de découvrir. La lecture est simple, fluide et l’on entre rapidement dans l’histoire. Alejandro, un jeune homme de 15 ans, décide de monter à bord d’un bateau et ce clandestinement, afin d’y être employé pour que sa mère ne soit plus obligée de travailler dure depuis le décès de mari, mort lors d’un naufrage, et la disparition de son fils aîné depuis plusieurs années. Après avoir été découvert, puis accepté en tant que dernier mousse du bateau, Alejandro se verra confier les tâches qui lui incombent en tant que tel et vivra des moments intenses avec la mer. C’est un récit court (130 pages) mais plein de sentiments. Un livre qu’il faut découvrir.

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Les cerfs-volants de Kaboul

Posté par belledenuit le 15 mai 2008

Les cerfs-volants de Kaboul dans Contemporain 51VAYKHPJTL._SL160_AA115_Auteur : Khaled Hosseini

Editions : 10/18 (2006)

Nbre de pages : 405

Présentation de l’éditeur :

« Dans les années 70 à Kaboul, le petit Amir, fils d’un riche commerçant pachtoun, partage son enfance avec son serviteur Hassan, jeune chiite condamné pour ses origines à exécuter les tâches les plus viles. Liés par une indéfectible passion pour les cerfs-volants, les garçons grandissent heureux dans une cité ouverte et accueillante. Ni la différence de leur condition ni les railleries des camarades n’entament leur amitié. Jusqu’au jour où Amir commet la pire des lâchetés… Eté 2001. Réfugié depuis plusieurs années aux Etats-Unis, Amir reçoit un appel du Pakistan. “Il existe un moyen de te racheter”, lui annonce la voix au bout du fil. Mais ce moyen passe par une plongée au coeur de l’Afghanistan des talibans… et de son propre passé. »

Mon avis :

Je me suis plongée dans ce roman voila maintenant près d’une semaine. Il fait partie de ces genres de livre que j’ai du mal à lire. D’ailleurs, par moments, j’ai cru me retrouver dans “Les hirondelles de Kaboul” de Yasmina Khadra (lorsque l’on arrive au passage des talibans). Les enfants Amir et Hassan sont attachants, surtout le second par son côté “pur”. Jamais un mensonge de sa part, toujours prêt à sauver Amir des pires situations. Il est pour lui “son ami” alors qu’Amir, lui, essaie de le dénigrer malgré un attachement qu’il ne peut nier. Quelque chose de très fort les lie jusqu’au jour où l’irréparable est causée. La lâcheté d’Amir lui causera des remords tout au long de sa vie de réfugié aux Etats-Unis. Faisant tout pour oublier son passé, Amir devient un brillant écrivain et mène une vie presque parfaite avec son épouse, Soraya. Jusqu’au jour où, par obligation, il se voit confier une mission en Afghanistan. C’est alors qu’il se voit tel qu’il ne s’était jamais connu : un homme prêt à se battre pour une bonne cause. Et quelle cause !

Une fin touchante voire bouleversante où, tant en qualité de lecteur qu’en tant qu’humain, nous ne désirons qu’une seule chose : que le meilleur se produise.

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Sept jours pour une éternité…

Posté par belledenuit le 9 mai 2008

Sept jours pour une éternité... dans Contemporain 41D5WY6HQEL._SL160_AA115_Auteur : Marc Levy

Editions : Pocket (2004)

Nbre de pages : 310

Présentation de l’éditeur :
Pour mettre un terme à leur éternelle rivalité, Dieu et Lucifer se sont lancé un ultime défi… Ils envoient en mission leurs deux meilleurs agents… Lucas et Zofia auront sept jours sur terre pour faire triompher leur camp, décidant ainsi qui du Bien ou du Mal gouvernera les hommes… En organisant ce pari absurde, Dieu et Lucifer avaient tout prévu, sauf une chose… Que l’ange et le démon se rencontreraient… Avec ce troisième roman, l’auteur de Où es-tu ? et de Et si c’était vrai… nous fait croire de nouveau à l’incroyable, et nous entraîne dans un univers plein d’humour, de tendresse et de rebondissements.

Mon avis :

C’était mon premier Levy et je ne le regrette pas. J’ai vraiment fondu sur la relation entre Lucas et Zofia qui est somme toute très belle malgré le pari qui demeure. Le livre est formé de 7 chapitres qui composent les fameux 7 jours imposés par Satan et Dieu pour faire régner le Bien ou le Mal sur terre. A partir du moment où naît un sentiment que ni Lucas ni Zofia n’arrivent à comprendre, il est difficile de lâcher ce livre.

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Cul-de-sac

Posté par belledenuit le 25 avril 2008

Cul-de-sac dans Contemporain 51BDJS2RTEL._SL160_AA115_Auteur : Douglas Kennedy

Editions : Folio (2006)

Nbre de pages : 291

Quatrième de couverture :

“Je n’avais rien contre l’Australie avant d’écraser un kangourou par une nuit sans lune et de rencontrer Angie sur une plage ensoleillée. Douce, chaude, Angie. Un vrai rêve pour le voyageur fatigué. C’est quand j’ai su que je l’avais épousée que les choses se sont gâtées, vraiment gâtées jusqu’au cauchemard.”

Mon avis :

J’ai donc terminé ce livre hier soir et ça m’a permis de bien y réfléchir avant de poster mon avis. C’est le deuxième livre de Douglas Kennedy que je lis (mon premier ayant été “l’homme qui voulait vivre sa vie” et qui m’avait bien plu) et je ne m’attendais pas du tout à ce style d’écriture dans celui-là. Il est vrai qu’à côté de “Cavalier seul” (le livre précédemment lu), Douglas Kennedy fait piètre figure dans son style : pas poétique du tout et d’un vulgaire à vous couper le souffle. Par ailleurs, je n’ai pas vraiment accroché à l’histoire en elle-même. Il me tardait de le finir. Un homme qui ne veut pas se poser dans sa vie de tous les jours; qui démissionne de son travail de journaliste pour aller en Australie et qui au final tombe sur une nana complètement dégentée qui va lui faire vivre un véritable enfer, ça fait penser à un scénario catastrophe où l’on se dit “mais c’est Monsieur Pas de Chance…”. Pour ma part, je pense que si l’écriture avait été plus fine, je m’y serais peut-être un peu plus intéressée et même si l’atmosphère pesante et oppressante en fait un “thriller psychologique” (on se demande quand même s’il va réussir à se sortir de cette misérable situation dans laquelle on l’a entraîné), il n’en demeure pas moins que le style m’a “gonflée” (disons le ouvertement). Je peux peut-être lui donner cette excuse qu’il s’agit de son premier livre et qu’avec les autres, écrits postérieurement, il s’est amélioré. Pour ce faire, il conviendra que j’en lise un autre pour me rendre compte.

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